Plus jamais ça. Plus jamais.
C’est ce que crie le cœur.
Plus jamais ça.
Et ça non plus, d’ailleurs. Plus jamais.
Et pas ça non plus.

Qu’a-t-on oublié de l’horrible symphonie jouée au cœur de la douleur ?
Ou alors croit-on que les mêmes notes, placées dans un autre ordre, ne forme pas une autre musique du malheur ? Différente et pourtant déchirante.
Quel sera le chœur qui imposera le silence ? Peut-être un chœur de femmes qui se tiennent par la main et regardent ensemble le sol sous leurs pieds, qu’elles voudraient ne jamais devoir creuser.

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