« L’homme dominant n’est pas libre, il est lui-même dominé par sa propre dominance. Certes, sa position est préférable à celle du/de la dominé.e, mais en aucun cas il n’est un homme entier car il ne vit pas sa vie. Il vit la vie que lui impose le système. Et s’il vit sa dominance dans le contentement, c’est un contentement similaire à celui de l’achat compulsif. Il n’est pas lié au bien-être mais à la réassurance engendrée par le conformisme exprimé envers le groupe.
L’esclave et le maître sont enchaînés. Le maître, en libérant véritablement l’esclave, se libére à son tour réellement. Et seul l’homme libre peut aimer vraiment, sans crainte au bord du cœur. »
Sandra Kim, « N’attends pas la fin de la chanson pour te rendre compte que tu n’es qu’une poussière dans cet univers ».
